Vous souhaitez évoluer dans votre carrière, mais avez besoin de l’anglais professionnel ? Vous vous demandez quel niveau est requis pour atteindre vos objectifs ?
Dans un monde du travail où l'anglais est devenu la langue universelle des affaires, il est essentiel de comprendre le niveau d'anglais professionnel nécessaire pour réussir dans sa carrière et saisir les opportunités commerciales à l'échelle mondiale.
Cet article explore les différents niveaux de compétence en anglais professionnel, allant du débutant à avancé, et examine l'importance d'atteindre un niveau adapté en fonction des rôles et des responsabilités au sein d'une entreprise.
Découvrez comment améliorer vos compétences linguistiques pour accroître votre crédibilité professionnelle, élargir vos horizons de carrière et prospérer dans le monde des affaires compétitif d'aujourd'hui.
📌L’essentiel à retenir sur le niveau d’anglais professionnel
- Le niveau B2 du CECRL est le minimum requis pour travailler efficacement en anglais : il correspond à un utilisateur indépendant capable de comprendre, rédiger et s’exprimer avec aisance dans un contexte professionnel.
- Les recruteurs recherchent généralement un niveau B2 à C1 selon le poste et le secteur (commerce, consulting, management international…).
- Le TOEIC est la référence la plus reconnue : un score entre 785 et 945 points correspond au niveau B2.
- Sur votre CV, indiquez clairement : “Anglais professionnel – niveau B2 (CECRL)” ou “TOEIC 850 pts”.
- Pour booster votre carrière, suivez une formation en anglais adaptée à votre métier et pratiquez régulièrement pour atteindre un niveau avancé.
Au programme de cet article
Quels sont les niveaux d'anglais CECRL et TOEIC ?
Il existe plusieurs échelles de compétence en anglais professionnel, dont le CECRL (Cadre européen commun de référence pour les langues) et le TOEIC.
Le CECRL propose une échelle de compétence en anglais divisée en six niveaux : A1 A2 B1 B2 C1 C2.
- A1 (débutant),
- A2 (élémentaire),
- B1 (intermédiaire),
- B2 (avancé),
- C1 (autonome),
- C2 (maîtrise)
Nous avons créé de nombreuses ressources pour vous aider à évaluer votre niveau d'anglais par rapport à l'échelle européenne CECRL.
Par exemple, au niveau B1, un professionnel peut communiquer de manière simple et cohérente sur des sujets familiers, tandis qu'au niveau C1, il est capable de s'exprimer de manière fluide et spontanée, même dans des situations complexes.
Cette grille d’apprentissage est utilisée par de nombreuses certifications d’anglais tel que le LinguaSkill Cambridge ou English360.
De même, le TOEIC est un test d'évaluation standardisé qui mesure les compétences en anglais professionnel des individus. Il utilise une échelle de points allant de 10 à 990, répartie en différentes bandes de compétence, telles que "Utilisateur débutant" (10 à 215 points), "Utilisateur opérationnel élémentaire" (220 à 465 points) et "Utilisateur expérimenté" (470 à 725 points), parmi d'autres. La certification TOEIC est proposée par de nombreux organismes de formation dont le Cercle des Langues et peut se passer en ligne ou à distance.
Voici la grille de correspondance entre les scores TOEIC et le CECRL :
Il existe d’autres grilles, telles que celle utilisée par l’examen TOEFL.
Comprendre les différents niveaux de compétences en anglais professionnel est essentiel afin de définir son niveau d’anglais actuel avec précision. Cela sera votre base pour comprendre quelle type de formation vous correspond le mieux, et pour vous fixer des objectifs d’amélioration réalistes et mesurables.
Par exemple, si un professionnel souhaite être plus à l’aise lors des réunions avec des collaborateurs internationaux, il peut viser un niveau B2 ou C1 en travaillant spécifiquement sur ses compétences de communication orale. De même, pour ceux qui ont besoin d'écrire des rapports professionnels précis, détaillés, chiffrés en anglais, un niveau avancé en compréhension et en rédaction (C1 ou C2) serait un objectif approprié.
Quel niveau doit-on avoir en anglais pour travailler en entreprise ?
Comment progresser en anglais professionnel ?
Dans le monde professionnel d’aujourd’hui, l’anglais n’est plus un luxe : c’est un prérequis. Que ce soit pour répondre à un client à l’étranger, suivre une visio avec un manager du siège de l’entreprise, lire une documentation technique ou postuler dans un grand groupe, votre niveau d’anglais peut clairement booster votre carrière… ou la ralentir. La bonne nouvelle, c’est qu’on progresse vite dès qu’on travaille l’anglais de manière ciblée.
Pour améliorer votre anglais professionnel, combinez trois leviers :
- Une formation en anglais professionnel, orientée business, comme celle proposée par le Cercle des langues.
- De la pratique régulière : 15 à 20 minutes par jour pour parler, écrire, écouter.
- Des situations réelles : prendre la parole en réunion, répondre en anglais plutôt qu’en français, oser l’appel plutôt que le mail.
Objectif : développer un anglais utile, et non pas scolaire. Plus vous l’utilisez dans votre contexte pro, plus vous devenez crédible… et plus les opportunités arrivent.
Quel niveau doit-on avoir en anglais pour travailler en entreprise ?
Le niveau de langue requis peut varier en fonction des postes et des fonctions au sein de l'entreprise, ainsi que du degré d'internationalisation de ses activités.
Pour des postes impliquant des contacts fréquents avec des partenaires internationaux, tels que les responsables des ventes, les directeurs de compte ou les gestionnaires de projets, sans parler d'un métier dans les langues, un niveau d'anglais avancé est souvent nécessaire. Un niveau B2 (intermédiaire supérieur) ou C1 (avancé) du Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL) est souvent recherché dans ces rôles, car il permet aux professionnels de participer activement à des négociations complexes, de présenter des idées de manière claire et précise, et de résoudre les problèmes avec des partenaires internationaux.
Pour des emplois moins orientés vers l'international, tels que les employés administratifs, les assistants de direction ou les responsables des ressources humaines, un niveau intermédiaire (B1 ou B2) peut être suffisant. Ce niveau permet d'assurer une communication courante, telle que la rédaction d'e-mails professionnels, la participation à des réunions ou des appels téléphoniques avec des partenaires étrangers, et la compréhension de documents professionnels courants.
Cependant, même pour les postes moins axés sur l'international, améliorer le niveau d'anglais professionnel de ses employés peut apporter de nombreux avantages à l'entreprise. Cela peut faciliter les échanges avec des clients étrangers, élargir les opportunités commerciales à l'échelle internationale, et renforcer la réputation et la crédibilité de l'entreprise sur le marché mondial.
Un personnel ayant un bon niveau d'anglais professionnel peut également contribuer à la croissance et à l'expansion internationale de l'entreprise, ouvrant ainsi la voie à de nouvelles opportunités commerciales et à des partenariats fructueux à l'échelle mondiale. Cela vaut le coup d'apprendre l'anglais professionnel rapidement.
Et si vous vous posez la question, nous vous expliquons pourquoi l'anglais est la langue internationale. Suivez le lien. 😉
Quel est le niveau minimum d'anglais professionnel ?
Le niveau minimum pour évoluer dans un contexte professionnel est, dans la grande majorité des cas, le niveau B2 en anglais du CECRL. Pourquoi ? Parce qu’il s’agit du premier niveau où l’on devient un utilisateur indépendant capable de travailler, d’échanger et de comprendre sans qu’on vous “tienne la main” en permanence.
À quoi ressemble un niveau B2 en anglais ?
Un candidat B2 est capable de :
- Comprendre l’essentiel d’une réunion en anglais sur son domaine (même avec plusieurs accents) ;
- Rédiger des mails professionnels structurés (demande d’infos, suivi client, compte rendu, relance) ;
- S’exprimer à l’oral sans chercher chaque mot, même s’il fait encore quelques erreurs ;
- Argumenter et donner un point de vue, pas seulement répondre “yes/no” ;
- S’adapter à des situations imprévues (appel avec un client, visite d’un partenaire, échange avec un manager étranger).
Ce n’est pas un niveau bilingue, mais c’est une maîtrise de la langue suffisante pour être opérationnel.
Le niveau d’anglais attendu par les recruteurs
Le B2, c’est donc celui qui correspond au niveau attendu par la plupart des recruteurs pour un poste où l’anglais est utilisé régulièrement (réunions, mails, appels, fournisseurs, clients internationaux).
SI on regarde un peu plus dans le détail :
- Postes ouverts à l’international / scale-up / consulting : B2 minimum, C1 apprécié.
- Postes business (sales, marketing, RH groupe, achats, supply) : B2.
- Postes support / administratif / tech interne : parfois B1+ suffit si l’anglais est peu utilisé, mais B2 reste la valeur sûre.
En clair : si une offre d’emploi dit “bon niveau d’anglais”, comprenez “B2”.
Quel niveau d’anglais mettre dans son CV ?
Soyez explicite. Écrivez par exemple :
- Anglais : B2 (niveau professionnel opérationnel) ou
- Anglais professionnel – CECRL B2 – réunions/mails
Évitez les “lu, écrit, parlé” ou “bon niveau”, trop vague pour un recruteur. Mentionner CECRL ou un score TOEIC/TOEFL est fortement recommandé car il donne un repère clair.
Le mot de la fin
Vous avez désormais plus de clés pour savoir quel niveau d’anglais vous avez besoin pour évoluer dans votre carrière. Quoi qu’il en soit, maîtriser la langue anglaise reste un atout professionnel majeur, dans un environnement globalisé.
Au-delà du diplôme ou du poste, c’est véritablement votre capacité à communiquer dans la langue de travail internationale qui fera la différence — un véritable passeport pour progresser dans votre vie professionnelle… et bien au-delà.
